Chimie verte et développement durable
La chimie verte s’attache à économiser les ressources en matières premières et énergie et à respecter l’environnement et le bien être des consommateurs.
Pour cela, il faut développer la chimie du végétal à la fois comme source de matières premières et comme source d’énergie. La mise au point d’outils de biotechnologie industrielle et de procédés durables et bio-sourcés aura un rôle important dans l’application des principes de la chimie verte.
Les domaines privilégiés de cette discipline sont aussi la prévention de la formation des déchets, l’économie d’atomes, l’utilisation de substances non toxiques et de matières premières renouvelables, la réduction de l’impact sur l’environnement, la sécurité et la prévention des accidents.La chimie verte s’attache à économiser les ressources en matières premières et énergie et à respecter l’environnement et le bien être des consommateurs.
La stratégie de la France dans la sécurité des approvisionnements en matières premières stratégiques
Après 25 ans dans l’aluminium chez Pechiney, six ans dans l’acier comme CEO de Corus, six ans dans l’automobile chez PSA, six ans dans le nucléaire ensuite, Philippe Varin fut Président de Suez de 2020 à 2022. En savoir plus
L’expression « hydrogène à faible empreinte carbone » est plutôt recommandée par le Journal officiel [1]. L’hydrogène jouera sans doute un rôle important dans la transition énergétique. Il possède en effet l’énergie massique la plus élevée des combustibles (1200 MJ/kg) soit trois fois celle de l’essence ; de plus son utilisation dans les piles à combustible avec l’oxygène ne forme en effet que de l’eau sans aucune émission de produits polluants et fait l’objet de nombreux articles et dossiers dans la presse. Il est aussi à ce jour le meilleur moyen de stocker massivement de l’énergie sur une longue durée ce qui permet de répondre à l’intermittence des énergies solaire et éolienne [2]. En savoir plus