On rappelle d’abord le principe de la technique en général, un schéma simplifié d’un appareil d’électrophorèse capillaire. Le cœur de l’instrument est un fin capillaire de silice de quelques dizaines de micromètres de diamètre interne et de quelques dizaine de cm de longueur. Or les actinides sont particulièrement difficiles à étudier en raison de leur toxicité et leur radioactivité. Une limite de détection des actinides à 10-12 mol.L-1 est possible par cette technique ! On peut ainsi déterminer avec précision l’abondance isotopique des éléments. Enfin l’électrophorèse capillaire couplée avec la spectrométrie de masse est rapide et sélective.
L’électrophorèse capillaire pour le nucléaire (lien externe) [4]
Liens:
[1] http://www.mediachimie.org/send-friend/1912/?ajax
[2] http://www.mediachimie.org/print/print/1912
[3] http://www.mediachimie.org/javascript%3Ahistory.go%28-1%29
[4] http://www.lactualitechimique.org/Fiche-no-47-L-electrophorese-capillaire-pour-le-nucleaire
[5] http://www.lactualitechimique.org
[6] http://www.mediachimie.org/thematique/%C3%A9nergie-et-%C3%A9conomie-des-ressources
[7] http://www.mediachimie.org/liste-ressources/8
[8] http://www.mediachimie.org/thematique/analyses-et-imagerie
[9] http://www.mediachimie.org/liste-ressources/25